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1.
Québec; INESSS; 25 juin. 2020.
Non-conventional in English | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1100750

ABSTRACT

SUMMARY OF THE REQUEST: The objective of this rapid response is to spotlight various ways that are being used or that could potentially be used to foster social interactions between caregivers and vulnerable people at a time when no visits are allowed at hospitals, residential and long-term care centres, seniors' residences and at intermediary resources and family-type resources. METHODOLOGY: Review methods: The data came from a variety of sources: PubMed, Google Scholar, Google (websites). Various combinations of key words, in English and French, were used. For example: Proches aidants (proches, caregivers); Hébergement (long-term care, nursing homes, youth protection services, Ehpad); Isolement, isolement social, distanciation sociale, confinement, distance; Personnes âgées, incapacités, hospitalisation (elderly, older, disabled, hospitalized); Communication, vidéoconférence; Coronavirus, covid-19. TECHNOLOGY: o A study published in 2017 shows that digital communication technologies such as the Internet could promote social connectivity, thereby reducing the rate of social isolation and loneliness. In Quebec, 92% of households had a residential Internet connection in 2018; however, among people aged 65 and over, this percentage was only 81%. In addition, Internet access in hospitals, residential and long-term care centres, seniors' residences and at intermediary resources and family-type resources may be limited. Considering that digital literacy levels and access to tools vary widely, there is a part of the population for whom technological means are not available. It is appropriate to coach some people in order to facilitate their use of technology (as suggested above). It is important to provide access to a computer, tablet or smartphone to people who do not have these devices so that they can get in touch with their loved ones. COMMUNICATION BETWEEN INSTITUTIONS (FACILITIES) AND CAREGIVERS: Institutions (facilities) may glean some ideas from the following suggestions: Keep loved ones up to date on the situation by using listserv emails. Set up a telephone line to provide a recorded report on the current operation of the facility and update it frequently (e.g., every day). Assign someone to act as a primary contact who can be easily reached by a resident's loved ones. This contact person needs to communicate frequently with a designated loved one to provide updates on the resident's status, particularly if the resident is unable to communicate on his/her own. Share general information or news releases via the Facebook page of the institution or facility. SUPPORT SERVICES FOR ISOLATED PEOPLE AND THEIR LOVED ONES: Consideration should be given to some of the support services as a way of helping isolated people counter the harmful effects of their isolation; these include: Telephone helplines. Online cognitive-behavioural therapy to reduce loneliness and promote psychological well-being in people living in a residential facility. Telephone support services that are normally available to caregivers continue to remain accessible during the current crisis. Examples include: National Dementia Helpline (Australia). Centre de soutien entr'Aidants (Quebec). Ligne info-aidants par l'appui.org (Quebec). There are also online support services for caregivers. For example: Canadian Caregiver Network, for the loved ones of people suffering from dementia.


Subject(s)
Humans , Social Isolation , Caregivers/trends , Coronavirus Infections/epidemiology , Family Relations , Cell Phone Use/trends , Internet Access/trends , Homes for the Aged/trends , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
2.
Québec; INESSS; 25 juin. 2020.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1100757

ABSTRACT

RÉSUMÉ DE LA DEMANDE: L'objectif de cette réponse rapide est de mettre en évidence les différentes manières qui sont utilisées ou qui pourraient potentiellement être utilisées pour favoriser les interactions sociales entre les soignants et les personnes vulnérables à un moment où aucune visite n'est autorisée dans les hôpitaux, les résidences et les établissements de longue durée. centres de soins de longue durée, résidences pour personnes âgées et ressources intermédiaires et ressources de type familial. MÉTHODOLOGIE: Méthodes d'examen: Les données provenaient de diverses sources: PubMed, Google Scholar, Google (sites Web). Diverses combinaisons de mots clés, en anglais et en français, ont été utilisées. Par exemple: Proches aides (proches, soignants); Hébergement (soins de longue durée, maisons de soins infirmiers, services de protection de la jeunesse, Ehpad); Isolement, isolement social, distanciation sociale, confinement, distance; Personnes âgées, incapacités, hospitalisation (personnes âgées, âgées, handicapées, hospitalisées); Communication, vidéoconférence; Coronavirus (COVID-19. TECHNOLOGIE: o Une étude publiée en 2017 montre que les technologies de communication numérique comme Internet pourraient promouvoir la connectivité sociale, réduisant ainsi le taux d'isolement social et de solitude. Au Québec, 92% des ménages avaient une connexion Internet résidentielle en 2018; cependant, chez les personnes de 65 ans et plus, ce pourcentage n'était que de 81%. De plus, l'accès à Internet dans les hôpitaux, les centres de soins de longue durée et résidentiels, les résidences pour personnes âgées et les ressources intermédiaires et les ressources de type familial peut être limité. Étant donné que les niveaux d'alphabétisation numérique et l'accès aux outils varient considérablement, il existe une partie de la population pour laquelle les moyens technologiques ne sont pas disponibles. Il convient de coacher certaines personnes afin de faciliter leur utilisation de la technologie (comme suggéré ci-dessus). Il est important de donner accès à un ordinateur, une tablette ou un smartphone aux personnes qui ne disposent pas de ces appareils afin qu'elles puissent entrer en contact avec leurs proches. COMMUNICATION ENTRE LES INSTITUTIONS (INSTALLATIONS) ET LES AIDANTS: Les institutions (installations) peuvent glaner des idées parmi les suggestions suivantes: Tenez vos proches au courant de la situation en utilisant les courriels de la liste de diffusion. Mettre en place une ligne téléphonique pour fournir un rapport enregistré sur le fonctionnement actuel de l'installation et le mettre à jour fréquemment (par exemple, tous les jours). Attribuer à quelqu'un le rôle de principal contact facilement accessible par les proches d'un résident. Cette personne-ressource doit communiquer fréquemment avec un être cher désigné pour fournir des mises à jour sur le statut du résident, en particulier si le résident est incapable de communiquer par lui-même. Partagez des informations générales ou des communiqués de presse via la page Facebook de l'institution ou de l'établissement. SERVICES DE SOUTIEN POUR LES PERSONNES ISOLÉES ET LEURS AIMÉS: Il faudrait envisager certains des services de soutien comme moyen d'aider les personnes isolées à contrer les effets néfastes de leur isolement; il s'agit notamment: Des lignes d'assistance téléphonique. Thérapie cognitivo-comportementale en ligne pour réduire la solitude et promouvoir le bien-être psychologique des personnes vivant dans un établissement résidentiel. Les services de soutien téléphonique qui sont normalement disponibles pour les aidants naturels restent accessibles pendant la crise actuelle. Exemples: National Dementia Helpline (Australie). Centre de soutien entr'Aidants (Québec). Ligne info-aidants par l'appui.org (Québec). Il existe également des services d'assistance en ligne pour les soignants. Par exemple: Canadian Caregiver Network, pour les proches des personnes atteintes de démence.


Subject(s)
Humans , Social Isolation , Caregivers/trends , Coronavirus Infections/epidemiology , Family Relations , Cell Phone Use/trends , Internet Access/trends , Homes for the Aged/trends , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
3.
Québec; INESSS; 29 juin. 2020.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1102181

ABSTRACT

CONTEXTE: Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés en réponse à une interpellation du ministère de la Santé et des Services sociaux dans le contexte de l'urgence sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension sommaire des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Vu la nature rapide de cette réponse, les constats ou les positions qui en découlent ne reposent pas sur une recherche exhaustive des données publiées et une évaluation de sa qualité avec une méthode systématique ou sur un processus de consultation élaboré. Dans les circonstances d'une telle urgence de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles données susceptibles de lui faire modifier cette réponse rapide. PRÉSENTATION DE LA DEMANDE: La présente réponse rapide se veut complémentaire à celle intitulée COVID-19 et les approches favorisant l'observance des mesures de précaution et de protection auprès des personnes en situation de vulnérabilité [1]. Dans le cadre de cette dernière, les populations ciblées devaient présenter un jugement altéré et excluaient les enfants et les adolescents, à l'exception de ceux présentant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l'autisme. Sans que leur jugement soit altéré, certains enfants et adolescents peuvent avoir une compréhension plus limitée des consignes de précaution et de protection, ou y être réfractaires. Ceci peut avoir une influence sur le niveau même d'observance des mesures de précaution ou de protection, telles que les mesures d'hygiène et de distanciation sociale. Ainsi, cette réponse rapide traite de la question suivante : comment favoriser l'observance des mesures de précaution et de protection, dans le cadre de la pandémie de la Covid-19, des enfants et des adolescents en général et de ceux en difficulté? MÉTHODOLOGIE: Revue de littérature: Repérage des publications: Une stratégie documentaire visant à repérer tous les documents en lien avec l'adhérence aux mesures de précaution et de protection chez les enfants, les jeunes et les familles en situation de vulnérabilité psychosociale dans le contexte du coronavirus et autres situations susceptibles de soulever des enjeux similaires (p. ex. : SRAS, Ebola, pandémie, épidémie, crise sanitaire, désastre) a été élaborée par la conseillère en information scientifique afin de créer une banque maîtresse. Comme aucun titre n'avait été repéré avec cette stratégie, la décision a été prise d'en élaborer une sur les enfants, les adolescents et les familles en general La gravité du contexte actuel de pandémie peut effectivement rendre tous les enfants, les adolescents et leur famille en situation de vulnérabilité psychosociale. Les bases de données consultées à cette fin sont : Medline, PsycINFO, CINAHL, Cochrane Database of Systematic Review, Social Work Abstracts. SOMMAIRE DE LA LITTÉRATURE: D'après la littérature consultée, les adolescents apparaissent comme un groupe particulièrement à risque de ne pas respecter les mesures de précaution et de protection, surtout celles qui concernent la distanciation sociale [2-5]. Ceci pourrait s'expliquer notamment par les raisons suivantes: L'adolescence est une période de développement caractérisée par la quête d'une plus grande indépendance et autonomie, ce qui peut s'accompagner d'une certaine défiance. Les adolescents accordent une très grande importance à leur réseau social, ce dernier contribuant de manière significative à leur bien-être. Le fait d'être coupé de leurs pairs peut donc être vécu très difficilement, voire être perçu de façon tragique. Certains adolescents peuvent privilégier leur vie sociale au détriment de certaines règles de distanciation sociale. Le lobe frontal des adolescents demeure en développement, ce qui peut se traduire par une plus grande impulsivité et une certaine difficulté à réaliser les conséquences de ses actes. Certains adolescents peuvent se sentir invincibles et non concernés par les directives émises par la santé publique. Bien qu'aucun document recensé ne fournisse de l'information précise sur le niveau d'observance pendant la période de l'enfance, des stratégies pour favoriser l'observance des mesures de précaution et de protection chez les enfants et chez les adolescents ont été trouvées dans la littérature. Ainsi, il apparait pertinent d'examiner ces interventions susceptibles de favoriser une plus grande observance des mesures de précaution et de protection chez les jeunes, dans le contexte actuel de la pandémie de la COVID-19.


Subject(s)
Humans , Child , Adolescent , Social Isolation , Child Behavior , Quarantine/standards , Adolescent Behavior , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/epidemiology , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
4.
Buenos Aires; IECS; 25 mayo 2020.
Non-conventional in Spanish | ECOS, LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1100252

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: La enfermedad por el Coronavirus 2019 (COVID­19, por su sigla en inglés Coronavirus Disease 2019) es una enfermedad respiratoria de humanos producida por un nuevo coronavirus identificado con la sigla SARS-CoV-2.El 11 de marzo de 2020 la Organización Mundial de la Salud (OMS) declaro a COVID-19 como una pandemia. Desde ese momento hasta el 17 de mayo su circulación se ha reportado en 205 países reportándose más de 4,801,875 casos y la muerte 316,671 personas. El período de incubación de la infección por 2019­nCoV es de 2 a 14 días. La mayor parte de los contagios se producen persona a persona, siendo altamente transmisible.3 La clínica varía desde casos asintomáticos a cuadros febriles con tos y dificultad respiratoria, neumonía y distrés respiratorio. También puede acompañarse de alteraciones gastrointestinales.3 El departamento de medicina interna del Hospital de Brigham de la escuela de medicina de Harvard ha postulado una clasificación clínico-terapéutica de la enfermedad que divide el curso de la misma en diferentes etapas y a su vez identifica dos subconjuntos patológicos superpuestos pero diferentes entre sí, desencadenados el primero de ellos por el virus y el segundo por la respuesta del huésped al vírus. TECNOLOGÍA: Las intervenciones no farmacológicas pueden clasificarse, según fases progresivas, en intervenciones de contención, mitigación, o supresión.11,12 Las intervenciones de contención son las que se implementan cuando se identifican los primeros casos con el propósito de interrumpir la trasmisión de la enfermedad y prevenir su expansión. Generalmente, incluyen medidas de identificación de los casos y rastreos de los contactos. Las intervenciones de mitigación se emplean cuando el número de casos aumenta y existe una escasa posibilidad de encontrar una relación entre los mismos. OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la eficacia, seguridad y recomendaciones de organismos internacionales de las intervenciones no farmacológicas de salud pública en la pandemia por COVID-19. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, y financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de revisiones sistemáticas (RS), ensayos clínicos controlados aleatorizados (ECAs), evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas y guías de práctica clínica (GPC) y recomendaciones de diferentes sistemas de salud. RESULTADOS: Se incluyeron dos RS, ocho modelos matemáticos, dos ETS y diez documentos de politicas de salud públicas en la pandemia de COVID-19. CONCLUSIONES: Evidencia de moderada calidad proveniente de estudios observacionales y modelos matemáticos sugiere que las intervenciones no farmacológicas de salud pública, ya sea de contención (como pruebas de detección, aislamiento de casos o rastreo de contactos), de mitigación (como distanciamiento social), o de supresión (como clausuras, aislamiento social o restricciones en la movilidad), ya sea solas o combinadas, son efectivas para reducir la transmisión del virus, atrasar el pico epidémico, reducir la ocupación de camas de terapia intensiva, el número de nuevos casos y muertes por COVID-19. Las medidas de supresión mostraron los mejores resultados en términos de reducción de la transmisibilidad viral, obteniendo el aislamiento social solo o combinado con otras estrategias reducciones del 46% de la misma y un número de reproducción de entre 0,97 a 1,43; mientras que la restricción de la movilidad, un número de reproducción de 1,05. Le siguieron en efectividad las medidas de contención con pruebas de detección, aislamientos de casos y rastreo de contactos con un número de reproducción del 1,7 al 2,5. Sin embargo, el grado de efectividad varía entre las diferentes intervenciones o combinaciones de intervenciones, siendo la estimación precisa de este efecto dificultosa debido a que dependen en gran medida del acatamiento social y del momento de la epidemia en que son implementadas. Organismos internacionales y entidades de salud pública de diferentes países relevados recomiendan enfáticamente la adopción temprana de intervenciones no farmacológicas de salud pública para contener el impacto de la pandemia ya que son, hasta el momento, las medidas más eficaces en la reducción de la propagación del virus, del número de nuevos casos y de la mortalidad asociada a COVID-19, si bien varían en cuanto al tipo de políticas priorizadas y la intensidad de su aplicación.


Subject(s)
Humans , Pneumonia, Viral/epidemiology , Psychological Distance , Social Isolation , Quarantine/methods , Coronavirus Infections/epidemiology , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
5.
s.l; IETSI; 14 mayo 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1096342

ABSTRACT

INTRODUCCIÓN: Ante la crisis de salud mundial a causa del COVID-19, se han implementado medidas de salud pública para la mitigación de la pandemia tales como: i) Cuarentena: la cual consiste en la restricción de movimientos de las personas sanas para prevenir la propagación de una potencial infección y ii) Medidas de distanciamiento social: incluyen medidas en la comunidad para reducir el contacto entre la población como por ejemplo, la restricción de viajes, medidas en el entorno escolar, laboral y comunitario (1). La aplicación de estas medidas tienen como objetivo retrasar el momento de máxima incidencia y reducir el número total de casos de infectados. Sin embargo, tal como se ha venido alertando en medios de comunicación y a través de las líneas de emergencia de diferentes países, estas estrategias de mitigación han logrado visibilizar un incremento de casos de violencia familiar a nivel global, donde además, las principales víctimas son las mujeres y los menores de edad, los cuales ante una situación de cuarentena con sus perpretadores están expuestos a permanentes abusos físicos y psicológicos (2-11). Más aún, la situación de emergencia sanitaria dificulta la posibilidad de encontrar espacios de apoyo fuera del hogar, colocando a esta población en escenarios significativamente riesgosos. La presente revisión crítica de la literatura tiene como principal objetivo analizar y evaluar las diferentes fuentes de informacion sobre el tema de interés y proporcionar al lector un panorama sobre los diversos y posibles debates alrededor de la actual pandemia del COVID-19, como lo es la violencia doméstica y su impacto en la salud de la población. Es el propósito también que, a partir de la discusión presentada, se pueda evidenciar la mayor vulnerabilidad que aún hoy en día experimentan las mujeres y niños a nivel doméstico, así como alertar sobre su agravamiento en situaciones de aislamiento y confinamiento social, con la finalidad de generar estrategias de apoyo y atención, alineadas a la coyuntura actual y a las posibilidades que ésta permita. MÉTODOS: Se realizó búsquedas en Web Of Science y Scholar Google. Adicionalmente, se revisó manualmente los datos publicados por organismos nacionales e internacionales (Organización Mundial de la Salud-OMS, Organización de las Naciones Unidas-ONU Mujeres, Ministerio de la Mujer y Poblaciones Vulnerables-MIMP) y las guías o reportes de experiencias de los países afectados por COVID-19. El grueso de la información sobre experiencias actuales de violencia doméstica se han basado en el análisis de literatura gris, principalmente de artículos y noticias de prensa y organismos vários. DISCUSIÓN: La pandemia del COVID-19 muestra que las poblaciones vulnerables como mujeres y niños, a nivel doméstico, podrían encontrarse en situaciones de riesgo ante la presencia de un agresor. Esta vulnerabilidad se ve reforzada ante desventajas económicas y el distanciamiento geográfico. Siendo el tema de violencia un problema importante de salud pública, llama la atención la carencia de planes colaterales a las estrategias de mitigación para reducir los casos de transmisión de COVID-19, en relación a los efectos de la cuarentena en poblaciones vulnerables. El hallazgo de esta carencia en la presente revisión, podría estar resaltando la necesidad de reforzar la visibilizacion de los problemas de violencia doméstica y principalmente, violencia hacia la mujer como temas prioritarios en la agenda de salud pública a nivel nacional. Desde un enfoque económico, la literatura resalta que la intersección de aspectos desventajosos para las mujeres en comparación a los hombres, tales como el acceso a la educación y oportunidades laborales, se sumarían al presente contexto de emergencia sanitaria en donde la salud física y emocional de muchas mujeres en el Perú se vería más afectada. Esta acumulación de desventajas podría reforzar situaciones de pobreza para este grupo poblacional y consecuencias desfavorables a lo largo del ciclo de vida. El acceso a plataformas virtuales seguras, amigables y disponibles permanentemente se presentan como una alternativa de comunicación para las víctimas ante la ausencia de redes de apoyo y aislamiento físico. Sin embargo, la conexión a servicios de Internet no es accesible para todos. Por lo tanto, la generación de canales de apoyo en donde estructuras y miembros de la comunidad (como por ejemplo, farmacias o bodegas cercanas) estén involucrados sería beneficioso. Finalmente, si bien el tema de violencia está relacionado a diversos aspectos individuales y comunitarios, no deja de ser también un tema político. Por lo tanto, estrategias para combatir esta epidemia de violencia deben ser dirigidas tanto a la víctima como al victimario con el objetivo de generar conciencia, sensibilidad pero también una institucionalización de la protección hacia las poblaciones más vulnerables. CONCLUSIONES: La actual crisis de salud mundial a causa del COVID-19, ha forzado a gobiernos de diversos países a implementar severas medidas de salud pública para la mitigación de la pandemia. Una de ellas es el confinamiento obligatorio. Sin embargo, tal como se viene observando a través de los medios de comunicación y redes sociales, esta medida viene reforzando vulnerabilidades y generando víctimas de diferentes tipos de violencia. Aunque tanto hombres como mujeres pudiesen ser víctimas de violencia, estas últimas constituyen el grueso de los casos de violencia en una relación de pareja y en el ámbito doméstico. Más aún, las experiencias de violencia para mujeres y niños son más frecuentes en espacios rurales y de aislamiento físico o geográfico, donde además las condiciones de desventaja económica, contribuyen a incrementar estas situaciones de vulnerabilidad. Ante la situación de emergencia actual, las opciones de soporte y ayuda se reducen a, si se tuviese acceso, llamadas telefónicas y a través del uso del Internet, siendo ésta última la más segura. Por lo tanto, la configuración de plataformas digitales amigables, asequibles y con disponibilidad de interactuar en tiempo real, posiblemente representen el camino hacia una estrategia de apoyo para las víctimas de violencia doméstica dada su mayor disponibilidad y privacidad, necesarias más aún en contextos de emergencia sanitaria como la que el Perú y el mundo viene combatiendo. No obstante, la implementación de redes de apoyo local deberían formar parte de planes de lucha contra la violencia evitando así desamparar y discriminar a aquellas personas sin acceso a servicios de conexión virtual. La situación de emergencia y su impacto en la salud mental y expresiones de violencia hacia poblaciones vulnerables no son excluyentes. Por lo tanto, un trabajo tanto con las víctimas como con los victimarios es necesario para buscar soluciones desde la raíz del fenómeno social.


Subject(s)
Humans , Social Isolation/psychology , Quarantine/psychology , Domestic Violence/psychology , Coronavirus Infections/psychology , Technology Assessment, Biomedical , Cost-Benefit Analysis
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